Una de las canciones míticas de Gilbert Becaud, que no podía faltar en ninguno de sus conciertos. El genial cantautor francés la interpreta en el Olympia de París, escenario de clamorosos triunfos a lo largo de toda su carrera.
"Toi qui marches dans le vent
seul dans la trop grande ville
Avec le cafard tranquille du passant
toi qu'elle a laissé tomber
Pour courir vers d'autres lunes
Pour courir d'autres fortunes
L'important......L'important c'est la rose
L'important c'est la rose L'important c'est la rose Crois-moi
Toi qui cherches quelque argent
Pour te boucler la semaine
Dans la ville tu promènes ton ballant
Cascadeur, soleil couchant
Tu passes devant les banques
Si tu n'es que saltimbanque
L'important......L'important c'est la rose
L'important c'est la rose L'important c'est la rose Crois-moi
Toi, petit, que tes parents
Ont laissé seul sur la terre
Petit oiseau sans lumière, sans printemps
Dans ta veste de drap blanc
Il fait froid comme en Bohème
T'as le cÂœur comme en carême
Et pourtant...L'important c'est la rose
L'important c'est la rose L'important c'est la rose Crois-moi
Toi pour qui, donnant-donnant
J'ai chanté ces quelques lignes
Comme pour te faire un signe en passant
Dis à ton tour maintenant
Que la vie n'a d'importance
Que par une fleur qui danse
Sur le temps.........
L'important c'est la rose L'important c'est la rose
L'important c'est la rose Crois-moi"
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